Paul Marchal (1913–1945), l’archange du camp de Stassfurt

Didier Béoutis, Sté littéraire du Maine, 2013, 168 p., 20 €
« Archange » est un qualificatif lourd de sens. Que ses camarades de déportation à Neu-Stassfurt, après Buchenwald, l’aient ainsi dénommé est une consécration. Professeur agrégé de lettres, marié, entré en résistance, Paul Marchal est arrêté et déporté le 17 avril 1944.
Il meurt sous les coups de ses geôliers le 17 janvier 1945. Passionné de scoutisme, comme son épouse, il est resté jusqu’au bout fidèle à son idéal. Ses camarades de captivité témoignent ici de ses très hautes vertus.
CLB
20-Jui-2014